Pts
Voila, j'ai écrit un petit bout de ma fiction sur un coup de tête, lors d'un bref moment d'inspiration et je voudrai savoir ce que vs en penssez. Ce passage ne se situe qu'au milieu de ma fiction et beaucoup de choses vous paraitrons imprécise mais vous les comprendraient en lisant la suite 
Tant pis, le tout était d'avoir votre avis ^^
(Sachaient au passage que cet extrait est écrit du point de vue de Macquenzy car un chapitre entier lui sera conssacrer)
"-Tu ne me connais pas! Hurlais-je soudain, Pas plus que je ne te connais moi... On tente de se convaincre du contraire mais nous ne sommes que deux étrangers l'un pour l'autre. C'est comme si, nous voulions communiquer mais que nous ne parlions pas la même langue... La vie nous a mener sur deux chemins paralèlles, qui ne seront jamais amener a se croiser. J'aurais voulu que tu me laisse rien qu'une fois, accédé a un peu de ta confiance mais je n'ai jamais trouver le code pour te faire baisser les armes... Je t'ai toujours défier du regard, le canon sur la tempes, attendant que tu renonce le premier... Mais tu vois, je suis fatiguée Jayson, faitguée de ce jeu à double tranchant; je laisse à d'autre la possibilité d'entré sur le ring... Moi, j'abandonne la partie. J'en ai assez de me sentir responsable de chacun de tes pas, assez d'attendre tout les soirs ton retour avec la peur de te voir a moitié ravager par je ne sais quel mal qui te ronge Jayson; assez que l'on s'évite... Assez de t'aimer comme je t'aime! Tant pis, le tout était d'avoir votre avis ^^
(Sachaient au passage que cet extrait est écrit du point de vue de Macquenzy car un chapitre entier lui sera conssacrer)
Ces mots étaient sortis avant même que je ne puisse les retenir, comme si ma langue les avaient expulser de ma bouche pour qu'ils ne me brule plus les lèvres. Je n'osais même plus le regarder tellement j'avais honte de moi, honte de lui... Honte de nous. Seuls, apeurés et souffrants, nous tentions de rester encore debout au coeur de ce monde qui s'éffondrait sous nos pieds. Il avait raison, j'étais lache, je préférais fuir les problèmes au lieu de les affronter a bras le corps. J'avais peur de voir se refermer sur moi l'issu du tunnel alors je courrais inlassablement vers la lumière, peu m'importais ce que je laisser derrière moi. Et la encore, je fuiyais, son regard, mes engagements...
- Ma vie ressemble à un échéquier, continuai-je ou noir et blanc s'affronte. Les parties s'enchènent, des pions tombent et moi, je suis la... Au milieu de tout ca, au milleu d'un frère porté en héro et d'un autre traité en paria. Je suis la, éssayant de trouver ma place dans un monde qui ne veux pas de moi, jouant des coudes pour ne pas étouffer. Mais toi tu t'en fou, bien enfermé dans ta tour d'ivoire, tu ne me vois même pas, pendant que moi je rêve d'etre reine... Je rêve prendre pour une fois les rennes et de serrer la bride pour ne plus que ma vie m'échappe. Je suis un pion qui n'a pas le droit d'être fou, et pourtant je suis bien folle de ce Roi aveugle, protégé sur la dernière case d'une couleur inverse. Pendant lontemps, j'ai espérai malgrès moi que tous les autres tombent et qu'il ne reste plus que nous, face a face, dans un duel parallèle, en suspent sur cette plaque de verre, fragile et ephémère, qu'est la vie que nous menons...
Pourtant, tu n'imagine pas a quel point on se ressemble... soufflais-je en m'approchant de la fenêtre, je peux te comprendre... Mieux que personne... parce que je vis la même chose...
Je le vis serrer les machoires dans le refflet de la vitre.
- Nan Mac', tu ne vis pas la même chose, et j'espère que tu ne le vivra jamais...
Stoïque, les poings sérrés, il tentait de garder une voix blanche et une apparence passive. Ignorant sa remarque, je repris:
- Nos vies sont plus similaire que l'on pourrais le croire. Toi aussi, tu noie ton desespoir dans des excés. Tu comble ton manque par la chair...
- NAN! cria t'il avant que je n'ai eu le temps de finir ma phrase, C'est ma nature, rien de plus, je me sent attiré...
- Par l'ennemis?! complétais-je en me rendant compte que je criais moi aussi. Je sais a quel point tu les hait pour ce qu'ils ont fais a Céline, je vois le dégout crisper ton visage quand tu les touches... Tu n'es pas obliger de faire tout ca Jayson, tu pourrais avoir toute les filles que tu veux et tu le sais...
Je marquais une courte pause pour reprendre ma respiration, hésitante.
- Tu sais ce que je pence? Je pence que tu veux te punir... Mais te punir de quoi Jayson? Tu n'y ai pour RIEN! De toute façon, tu sais très bien que tu n'orais pas pu la sauver, elle était déjà trop... bléssée.
Ce dernier mot, je l'avais prononcer du bout des lèvres... Le souvenir de son corps frèle et pâle, son visage méconnaissable, couvert de bleu et d'entaille me revint, net et violent tandis que Jayson penchait la tête en arrière et se mordait profondement la lèvre et en fermant les yeux. Quand il les réouverit, il avait repeint ce mascque impassible, douloureux et glacial sur son visage.
- Pences ce que tu veux, après tout je m'en fiche. Lança t'il d'un ton détaché et froid.
Un lourd silence s'installa soudain entre nous, entre gène et désaroie, suprise et soufffrance... Il n'y avait plus rien a dire. Je tournais les talons, une larmes d'agonie silencieuse roulant sur ma joue. Je posais mes doigts sur la poignet et soupirais, me souvenant vaguement du temps ou nous avions été complices; mon coeur se serra douloureusement et une autre larmes vint prendre asile sur ma joue.
- Où vas-tu?
Mon coeur se stoppa net, manquant un battement. Cette voix... Ce n'était pas celle de l'automate, celle de la coque vide qui avait remplacé mon Jayson depuis bien trop longtemps... Cette voix... C'était VRAIMENT lui.
Je me raclais la gorge pour tentais de la rendre plus claire, en vain. Il ne sorti de mes lèvres qu'un couinement fébrile et ridicule:
- Je...
Il me ragarda d'un air las, comme si, a travers ses yeux inexpressifs, la vie ricanner, me narguait comme pour me dire:"alors ma vielle, tu va faire quoi maintenant que je t'ai pris ce que tu avais de plus cher?". Je serrais les machoires terminais:
-Mais laisses-tombé après tout, tu ne peux pas comprendre..."
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